Jour 9. Mercredi le 13 décembre 2017. De El Meco à Los Micos, SLP. 93 km.
La nuit fut
des plus tranquilles. On dort bien avec
le son d’une rivière tout près. Nous
paressons jusque vers 7h30 et déjeunons dehors en regardant la rivière
turquoise. Vers 10h15 nous allons voir
le jeune homme qui nous a accueillis hier et partons avec lui en chaloupe en
direction de la chute d’El Meco. C’est
seulement à 15 minutes en pagayant lentement mais nous avons pris une heure et
quart au total pour notre petit tour.
Nous allons
ensuite au bout de la route en direction de la centrale électrique du Salto
d’El Meco. La chute a disparu car tout
l’eau passe par la turbine maintenant.
On le savait d’avance heureusement.
Mais les petits bassins au pied de l’ex-chute sont très jolis. Par temps chaud, jusqu’à 50 degrés ici en
mai-juin, il y a foule. C’est vrai aussi pour la semaine du congé Pascal.
Nous
reprenons la route en direction sud, retraversons El Naranjo et roulons durant
un peu plus d’une heure vers le sud dans une vallée entièrement couverte de
champs de canne à sucre. Nous bifurquons
vers la droite et arrivons peu de temps après à la cascade de Minas
viejas. Nous lunchons et allons ensuite
visiter le site. Il nous faut descendre
quelques centaines de marche pour nous retrouver au pied de la magnifique chute
qui se jette dans une multitude de petits bassins émeraude. Vraiment superbe. Quelques personnes se baignent mais à 21
degrés nous n’en ressentons pas le besoin. On doit se faire vieux…
De nouveau
sur la route durant 1h30, nous passons notre temps à esquiver les trous et les
crevasses. Nos nids de poule ne sont
rien à côté de ces cratères. On roule
suffisamment lentement pour en éviter la majorité. Les autres on les subit avec douleur.
Il est
15h30 environ lorsque qu’après avoir circulé dans un profond canyon, nous
arrivons au site touristique des cascades de Los Micos. Sept cascades s’enchaînent dans le
canyon. Il est possible de partir en
amont avec un guide et de faire un mélange de sentiers approximatifs et de sauts
de cascades. C’est une activité très en
vogue chez les jeunes touristes dans cette région tout comme le rappel, le
rafting et la tyrolienne. Vu la
température relativement fraiche de l’air et de l’eau, nous ne sommes guère
attirés par l’activité aujourd’hui.
À 16h30,
nous quittons le stationnement à l’entrée du site pour aller nous stationner
dans le site même au bord de la rivière.
Super lieu de camping que nous permet gratuitement le gardien de
l’endroit à qui nous l’avions gentiment demandé. Il n’y aura que le gardien du site et nous
cette nuit. Aucun service mais nous
avons accès aux toilettes. De notre
emplacement, nous voyons parfaitement la chute et son bruit nous aidera
certainement à dormir profondément.
Jour 10. Jeudi le 14 décembre 2017. De Los Micos, SLP à El Puente de Dios. 71
km.
Après une
excellent nuit très tranquille au bord de la rivière, nous déjeunons et
quittons vers 8h30 pour aller à Tomasopo situé à une quarantaine de kilomètres
à l’Ouest de Ciudad Valles. C’est un
site touristique très développé et prêt à recevoir une foule de visiteurs à la
fois. Il y a six très jolies chutes
adjacentes qui se jettent en bas d’une falaise dans une suite de bassins aux
eaux turquoise. Impressionnant! Mais on voit que c’est organisé pour la
baignade avec des cordes de sécurité partout, la location de VFI qu’on doit
obligatoirement porter pour nager et des restaurants. Nous faisons le tour en 45 minutes et prenons
un bon café de olla, c’est-à-dire aromatisé à la cannelle et peut-être d’autres
épices.
Nous allons
ensuite au petit village près de la chute Puente de dios. Nous trouvons notre
camping où nous allons installer notre VR après avoir lunché. Un repas d’enchiladas Potosinas pour Hélène
et d’enchiladas Huastecas pour moi. On a
préféré la seconde recette.
Nous
descendons quelques centaines de marches pour arriver dans le fond du ravin où
coule une autre petite rivière aux eaux cristallines teintée émeraude. Un peu partout le long du magnifique trottoir
de bois ou de pierre qui la borde, on retrouve des petits endroits sympathiques
pour se baigner. Il ne fait que 21
degrés et la saucette nous tente plus ou moins.
Mais l’attraction principale qui donne son nom à tout le site
touristique est le Puente de dios, un pont de pierre naturel sous lequel coule
la rivière après une série de jolies chutes.
Afin de rendre le site plus attrayant, on a graduellement converti ce
site en endroit pour se baigner et on y a ajouté une série de corde que les
gens suivent pour passer sous le pont.
C’est certainement agréable mais les cordes enlèvent vraiment le charme
naturel du lieu. Mais nous comprenons
qu’il se crée plus d’emplois dans le petit village avec les jeux dans l’eau
qu’avec la simple contemplation.
L’économie du village est essentiellement basée sur ça.
En fin
d’après-midi, nous prenons une douche à l’eau fraîche-froide puis on se la
coule douce en regardant de splendides orioles multicolores, en lisant et en
pratiquant la guitare. Notre quiétude
est souvent interrompue par le passage de trains à quelques centaines de mètres
du camping. Espérons qu’il n’en passera
pas souvent ou pas du tout cette nuit…
Jour 11. Vendredi le 15 décembre 2017. De El Puente de Dios à Ciudad Valles. 155
km.
Le premier
train de la journée est passé vers 6h. Le second, une heure plus tard. Pas si
mal! Le temps est nuageux et il fait
frais. C’est pas un temps pour se baigner.
Nous partons donc après déjeuner et allons directement à Ciudad Valles
où nous visitons le Musée régional Huasteco pour commencer. Une jeune guide nous fait faire le tour du
petit musée privé et gratuit et nous initie à la culture Huastèque durant
presqu’une heure. Nous pouvons admirer des pièces dont l’époque varie entre 600
AVJC et 1500 de notre ère.
Après
quelques courses nous allons au Musée du Centre culturel Huastèque mais lorsque
nous arrivons, tous les employés sont dehors et nous apprennent que l’endroit
fait présentement l’objet d’une fumigation.
Pas possible de visiter aujourd’hui donc.
Qu’à cela
ne tienne, nous prenons la route vers Tamuin à l’Est où nous allons
successivement visiter deux sites archéologiques de première importance pour la
culture Huastèque, d’abord Tamohi puis Tamtok.
Nous
visitons le site de Tamohi avec un guide qui parle à vitesse Grand V. On a de
la difficulté à suivre mais on réussit à comprendre l’essentiel
pensons-nous. Il gèle par ce temps
glacial de 14 C… Ce qui fait que la
visite ne dure que 45 minutes. Mais ce fut tout de même très intéressant. Et on n’avait pas froid avec chacun nos deux
polars et un coupe-vent.
Ensuite
c’est Tamtok avec plus de 60 ruines découvertes actuellement sur une centaine
d’hectares. Moins de 25% a été fouillé
mais les découvertes sont déjà très nombreuses : monuments, terrasses,
tombes, poteries, objets divers, stèles, sculptures et murale géante. Nous prenons les services d’un guide et nous
ne le regrettons pas. C’est même une
nécessité si l’on ne veut pas manquer les endroits importants sur l’immense
site. Et aussi pour comprendre. Son débit est normal et nous comprenons
facilement 95% des explications. La
visite a duré 1h30 mais le temps a passé très vite tant c’était
intéressant.
Nous
retournons vers Ciudad Valles où nous nous installons pour camper dans un
balneario à El Bañito à 10 km au Sud de la Ville. Les installations sont un peu défraîchies
mais cela fera pour la nuit. On a
l’électricité et l’eau et donc on pourra partir demain avec les batteries à
pleine charge et le réservoir d’eau rempli.
En soirée,
un bon souper suivi de Scrabble et de lecture.
Je met à jour le blogue et les photos sur mon ordinateur mais faute de
wifi et de signal cellulaire, la mise à jour du blogue en ligne avec textes et
photos devra attendre encore quelques jours.
Jour 12. Samedi le 16 décembre 2017. De Ciudad Valles à El Sótano de las
Golondrinas. 89 km.
Nous lavons
tout l’extérieur du VR avant de partir du camping ce matin. C’est une nécessité
tellement il s’est sali dans le chemin de terre menant à Tamtoc hier. Nous allons ensuite à Ciudad Valles pour
avoir le signal cellulaire avec AT&T.
Nous stationnons au Musée qui était fermé hier et appelons les enfants
pour prendre de leurs nouvelles. Nous
réservons aussi un site camping à San Miguel de Allende pour dans trois
jours. Peut-être pas nécessaire mais
comme on est certains de la date, aussi bien s’assurer d’avoir de la place là
où l’on veut.
Nous
visitons ensuite le Musée situé au Centre culturel. Une trentaine de minutes suffisent pour
visiter les deux salles : l’une consacrée à l’art contemporain et l’autre
à des objets trouvés lors de fouilles archéologiques.
Nous
faisons ensuite route vers le Sud pour nous rendre à la petite municipalité
d’Aquismón. Nous sommes chanceux c’est
jour de marché. Nous nous promenons donc
durant presqu’une heure dans les quelques rues entièrement occupées par le
marché, intéressés autant par les étals et leur marchandise parfois insolite
que par les gens. Quelques vieilles
dames arborent des coiffures et des costumes traditionnels Huastèques. C’est
joli. Profitons-en pendant que cela
existe encore! Depuis les deux dernières
générations, le port de costumes traditionnels est presqu’entièrement remplacé
par le port de jeans et de vêtements modernes.
Nous faisons quelques emplettes au marché : fruits, légumes et fromage
frais puis nous allons dîner à un balneario situé à une dizaine de kilomètres
de là. Nous pensions y passer la nuit et partir à la noirceur demain matin pour
nous rendre au Sótano de las Golondrinas mais finalement nous changeons d’idée.
Donc tout
de suite après diner, nous prenons une route de montagne très tortueuse pour
nous rendre au fameux site d’observation de millions de martinets. Moins de
vingt-cinq kilomètres à parcourir mais à vitesse petit v cela nous prend une
bonne heure pour y arriver. Nous sommes
très heureux d’avoir fait le chemin à la clarté! Pas mal moins stressant c’est certain!
Nous
stationnons près d’un restaurant pour la nuit grâce aux conseils d’un préposé
au stationnement du site d’observation des oiseaux. Nous prenons nos billets pour apprendre qu’en
raison du froid, les martinets à collier blanc ne sont pas sortis du gouffre
qui les abritent aujourd’hui.
Normalement ils sortent par millions, entre deux et trois millions,
entre sept et neuf heures le matin et rentrent en fin de journée après s’être
nourris de milliers d’insectes.
Nous
descendons un nombre incalculable de marches de pierre pour nous rendre voir le
gouffre à tout le moins. Large de 55 m à
l’ouverture, il s’étend sur un diamètre de 350m tout au fond, à 400m de
profondeur. Et c’est là que s’abritent toute
l’année durant les martinets.
Nous
remontons après avoir pris quelques photos en se penchant au-dessus du gouffre,
bien assurés grâce l’aide d’un guide qui était sur place.
Je compte 650 marches, presqu’une fois et demie l’escalier du Cap blanc à Québec. En passant, vers la 450 ième marche, nous achetons du café à une dame qui vend aussi des souvenirs le long du grand escalier. Elle nous raconte leur beau projet de développement communautaire qui a débuté tout récemment. On cultive différentes variétés de café sans engrais ni pesticide, on en fait la torréfaction, la mouture et la mise en sachets que l’on vend directement aux touristes. Pas d’intermédiaire! La dame répond avec plaisir à toutes mes questions. Nous lui achetons un demi-kilo, prenons une photo d’elle avec ses produits pour en faire la promotion sur notre blogue et au moment de partir, elle nous offre généreusement un petit porte-clés à l’effigie d’un martinet. Un don spontané comme ça! Ça me touche toujours beaucoup lorsque je vois des gens qui n’ont presque rien faire un don. C’est drôle parce que je suis justement en train de lire depuis quelques jours Le livre du don, récits et visages par Justin Kingsley, un gars de Montréal. Et dans ce livre, on apprend d’une part que le don peut s’exprimer de différentes façons et d’autre part que ce sont souvent les gens qui possède le moins qui donnent le plus…
Je compte 650 marches, presqu’une fois et demie l’escalier du Cap blanc à Québec. En passant, vers la 450 ième marche, nous achetons du café à une dame qui vend aussi des souvenirs le long du grand escalier. Elle nous raconte leur beau projet de développement communautaire qui a débuté tout récemment. On cultive différentes variétés de café sans engrais ni pesticide, on en fait la torréfaction, la mouture et la mise en sachets que l’on vend directement aux touristes. Pas d’intermédiaire! La dame répond avec plaisir à toutes mes questions. Nous lui achetons un demi-kilo, prenons une photo d’elle avec ses produits pour en faire la promotion sur notre blogue et au moment de partir, elle nous offre généreusement un petit porte-clés à l’effigie d’un martinet. Un don spontané comme ça! Ça me touche toujours beaucoup lorsque je vois des gens qui n’ont presque rien faire un don. C’est drôle parce que je suis justement en train de lire depuis quelques jours Le livre du don, récits et visages par Justin Kingsley, un gars de Montréal. Et dans ce livre, on apprend d’une part que le don peut s’exprimer de différentes façons et d’autre part que ce sont souvent les gens qui possède le moins qui donnent le plus…
Une fois
rendus à la guérite, nous allons prendre une bière sur la terrasse du petit
restaurant où nous sommes stationnés. La
vue sur les montagnes et les cultures en pente -raide, très raide- est
saisissante. Nous allons ensuite à pied visiter la petite église locale où
l’autel est décoré avec des textiles Huastèques et des fleurs élaborées à
l’aide de feuilles d’ananas.
Retour au
VR pour lire et se faire à souper. Tout est tranquille dans le village. On se
couchera tôt pour se lever avant l’aurore demain.
Jour 13. Dimanche le 17 décembre 2017. De El Sótano de las Golondrinas à Xilitla. 62
km.
Réveillés
dès 4h30 du matin, on a tout de même bien dormi. À 6h on se fait un bon café qu’on apporte
avec notre lunch au mirador situé en haut du gouffre des martinets. Le piaillement des oiseaux, en bas tout au
fond, nous semble plus fort ce matin. Et
soudainement vers 7h, il en apparait quelques-uns. Des éclaireurs qui viennent
voir de quoi à l’air le temps. C’est
beaucoup moins froid qu’hier. Et c’est parti!
Un tourbillon d’oiseaux s’élève des profondeurs. Ils volent très
rapidement en spirale et il leur faut au moins une dizaine de tours pour
arriver jusqu’en haut. Tous volent dans
le sens anti-horaire, en formation rapprochée.
C’est spectaculaire! Mais ils sont petits et rapides ce qui rend très difficile la prise de photos, surtout avec une lumière du jour naissant. Rendus en
haut, ils s’en vont tous dans la même direction, juste au-dessus de nos
têtes. Il en passe parfois plusieurs
centaines à la seconde! Tout un
spectacle qui dure 40 minutes. Un flot
de martinets qui se déverse durant 40 minutes ça fait bien le compte : deux
ou trois millions! Une autre des
merveilles du Mexique qui est fort méconnue des touristes, même Mexicains. D’ailleurs nous n’avons vu aucun autre
étranger ici depuis hier après-midi.
Nous
repartons du Sótano enchantés de notre expérience et nous nous sentons
privilégiés d’avoir pu y assister ce matin.
Environ une heure plus tard, soit vers 10h, nous arrivons à la petite
ville de Xilitla, au début des montagnes de la Sierre Gorda où nous irons
demain.
Xilitla reçoit
quantité de touristes annuellement, surtout Mexicains, pour une seule et bonne
raison, la visite du Jardin Las Posas.
Il s’agit d’un jardin de sculptures magistrales et de bâtiments étranges
conçu par Edward James un riche écossais, artiste et philanthropre. Dans les années 40, lors d’un voyage dans la
région, il décide d’y construire un jardin qui serait une œuvre d’art. Pour réaliser son œuvre, il engagera jusqu’à 150
ouvriers et les travaux s’échelonneront sur trois décennies.
Le jardin
se situe dans une pente abrupte couverte d’une végétation tropicale et parsemée
d’un réseau labyrinthique de sentiers et d’escaliers menant à des édifices, des
fontaines ou des sculptures la plupart inachevés. Des escaliers qui ne mènent nulle part, des
fleurs de ciment, des colonnes en forme de bambou, on n’en voit partout. À chaque détour, on a une surprise et on est
ébloui par une nouvelle partie de l’œuvre.
Et au fond, une magnifique cascade se jette dans un bassin dont les eaux
sont retenus par un ouvrage purement artistique.
Nous
passons plus de 2h30 sur le site sans nous lasser. Même nos mollets qui ont subi quelques
milliers de marches depuis hier ne se plaignent pas. Il faut dire qu’ils ont eu droit à deux
attractions cinq étoiles aujourd’hui! C’est rare!
Nous allons
ensuite nous installer à un petit camping tout près du site. Pas moyen d’entrer sur la pelouse avec le VR,
on nous offre donc de stationner dans l’entrée du patron. Original comme
camping mais cela fera l’affaire pour une nuit.
Après un
léger goûter, nous allons au centre-ville à pied. Quelle chance c’est jour de marché! Et en plus il y a une fête à la Place
centrale. Un orchestre joue de la
musique Huapango sur une scène installée devant l’église alors que le public
danse sur un plancher de bois installé devant la scène. L’idiot du village s’est invité à aller jouer
avec les musiciens. Il joue n’importe quoi mais comme il n’a pas d’amplificateur
cela ne parait pas. Plusieurs
personnages qui dansent sont très colorés! Du campesino à la Huastèque en
costume traditionnel. La plupart des hommes portent fièrement un beau chapeau de
ranchero, le chapeau de cowboy mexicain.
Nous allons nous installer au deuxième étage du kiosque de la Place pour observer la foule bigarrée durant un bon moment. Après avoir bien observé du haut de notre perchoir, nous connaissons maintenant parfaitement trois nouvelles façons de servir des épis de maïs grillés sur charbon de bois. La plus populaire semble celle-ci :
Nous allons nous installer au deuxième étage du kiosque de la Place pour observer la foule bigarrée durant un bon moment. Après avoir bien observé du haut de notre perchoir, nous connaissons maintenant parfaitement trois nouvelles façons de servir des épis de maïs grillés sur charbon de bois. La plus populaire semble celle-ci :
- · Piquer l’épi sur un bâton qui servira à le tenir sans se brûler ni se salir
- · Enduire l’épi de mayonnaise avec un pinceau
- · Ajouter du fromage fort râpé tout autour de l’épi. La mayonnaise fera coller le fromage.
- · Saupoudrer d’un peu de piment doux séché
- · Ajouter, au goût, quelques lignes de sauce piquante dans le sens de la longueur (genre Valentina)
- · Une variante de cette recette se fait avec des grains détachés de l’épi et servis dans un verre avec la mayonnaise et les autres ingrédients.
Nous
revenons au camping vers 16h pour prendre une bonne douche et lire en attendant
de se préparer à souper vers 19h. La
soirée s’achève en lecture. Le wifi et le signal cellulaire ne fonctionnent pas
souvent ou rapidement dans la Huasteca. Ça nous empêche de mettre les photos
sur le blogue mais nous pouvons au moins prendre nos courriels et même
télécharger des livres de la bibliothèque de Québec ou de la BAnQ.
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