lundi 22 janvier 2018

De Maruata à San Juan de Alima


Jour 49.  Lundi le 22 janvier 2018. De Maruata à San Juan de Alima. 67 km.

Nous faisons nos adieux à Lety et à sa famille ainsi qu’à nos voisins de camping de la Nouvelle-Écosse puis reprenons la route 200 vers le nord.  Quarante-cinq minutes plus tard, nous arrêtons à La Ticla, un endroit réputé pour le surf.  Vraiment très charmant mais les vagues nous semblent monstrueuses.  C’est pas pour nous!  Nous y rencontrons Pamela, une gentille québécoise qui passe ses hivers ici avec son bébé et son chum surfer.  Ils vivent dans un vieux VR et sous une immense palapa. Leur aménagement est vraiment le fun!







Encore une demie heure de route et nous voici à La Placita de Morelos.  Enfin de l’essence!  Nous étions à 100 km de la panne sèche ou dans l’obligation d’acheter de l’essence en bidon sur le bord de la route…  Nous achetons aussi des fruits et légumes et faisons quelques appels téléphoniques.  Enfin un signal cellulaire!  La Côte du Michoacán est peu peuplée et loin des priorités des compagnies de téléphone.

Vers 12h30 nous arrivons à San Juan de Alima.  C’est un petit village de villégiature avec des petits hôtels et des restaurants le long de l’immense plage de sable doré aux eaux turquoise.  Nous nous installons à l’hôtel González qui nous semble désert en cette basse saison.  Il y a un beau stationnement en bordure des palapas.  Je demande à la dame du bureau si on peut stationner là pour la nuit et utiliser les toilettes et douches.  C’est ok pour elle et le prix sera de 100 pesos (7,50$) pour la nuit. Elle nous fournit de l’eau pour notre réservoir et nous donne accès à son wifi. On ne peut demander mieux.  Je pourrais me brancher mais nous n’en avons pas besoin pour une seule nuit.




Nous dînons sous notre palapa et allons prendre une grande marche sur la plage.  En route, nous nous baignons de temps à autre et regardons les oiseaux en bord de mer :  courlis, aigrettes neigeuse, huitrier, etc.





Les grosses vagues cassent au loin et nous faisons du body surf dans les vagues d’écumes qui en découlent et qui viennent mourir sur le rivage.

En fin d’après-midi, nous nous reposons sous la palapa en planifiant le reste du trajet  jusqu’à Puerto Vallarta où l’on a rendez-vous avec le Compadre dimanche le 28.  Je profite pour publier les articles des derniers jours et débuter la rédaction de celui de la journée.

Un peu de guitare en fin d’après-midi en buvant une eau de coco aux arachides puis on se fait un souper du repas le plus populaire au Québec soit le spaghetti italien!  Un peu de québécois de temps à autre, ça fait du bien!

On admire le coucher de soleil sur la plage puis nous rendrons dans le VR pour le reste de la soirée.  Il vente très fort dehors et le calme dans le VR nous repose.




La soirée s’achève en Skype et lecture.


Aucun commentaire:

Publier un commentaire